lev radin / Shutterstock
Le prince Harry a longtemps eu un problème avec les médias. Après que sa défunte mère, la princesse Diana, ait été tragiquement tuée (comme l’ont dit d’innombrables points de vente comme le Washington Post) entre les mains des médias britanniques, le duc de Sussex a été marqué à vie. Les injures qu’il a tirées des médias se sont intensifiées en 2018 lorsqu’il s’est marié avec sa femme Meghan Markle. Frédéric Legrand – COMEO/Shutterstock L’insurrection du Capitole du 6 janvier est un jour qui vivra à jamais dans l’infamie. Avec un certain nombre de morts liées à l’attaque et des centaines d’accusations, l’insurrection a sûrement laissé une tache sur l’histoire américaine. Les manuels scolaires raconteront sans doute l’histoire des partisans enragés de Donald Trump qui ont pris d’assaut le Capitole dans une vaine tentative d’annuler les résultats de l’élection présidentielle de 2020. Mais comment exactement ces partisans de Trump se sont-ils même ralliés au Capitole ? Par le biais des réseaux sociaux, bien sûr. Le fondateur de Twitter, Jack Dorsey, a même pris une partie du blâme, selon le New York Times, notant que sa plate-forme de médias sociaux extrêmement populaire et influente a contribué à stimuler l’insurrection. Le vrai kicker, cependant? Il a été averti à l’avance des émeutes. Par qui? Nul autre que le duc de Sussex, le prince Harry.
Le prince Harry a tenté d’alerter Jack Dorsey d’un « coup d’État à organiser » avant les émeutes du 6 janvier
S’exprimant lors du sommet en ligne RE: WIRED de Wired Magazine, Harry a parlé du fléau de la propagande sur Internet, qualifiant la désinformation de « crise humanitaire mondiale » (via Gens). Il a également révélé des discussions avec Dorsey avant l’insurrection, déclarant: « Jack et moi nous envoyions un e-mail avant le 6 janvier où je l’ai averti que sa plate-forme permettait un coup d’État » (voir la vidéo via Reuters). Harry nota que « Cet e-mail a été envoyé la veille, puis c’est arrivé et je n’ai plus eu de nouvelles de lui depuis. »